En BREF, j'ai lu... - Avis sommaires #8
21/12/2020
Et hopla, un jour non travaillé où enfin je parviens à trouver la motivation de faire vivre ce blog ^^
J'accouche donc d'un En bref #8 qui revient sur mes lectures des 9 derniers mois...
Comme je ne veux pas surcharger ce billet, je ne vais y parler que des romans genrés policier et contemporain.
Je ferai un En bref #9 (sous peu j'espère) où il sera question de mes lectures SFFF (celles non déjà chroniquées).
Et il y en a eu quand même pas mal, le genre prenant de plus en plus de place dans ma bibliothèque et dans mes envies de lecture (sans que je renonce au reste toutefois :p).
Bon j'espère que le billet vous intéressera malgré tout.
BONNE LECTURE
Surface- Olivier Norek
● Après une intervention qui l'a défigurée, la capitaine Noemie Chastain est mise au vert par sa hiérarchie.
Mutation en Province, là où son visage ne rappellera pas aux collègues les risques du métier. Direction l'Aveyron pour ce que No pense être une mission bidon avec de fausses responsabilités.
Et pourtant à Avalone, No sera loin de se tourner les pouces. En même temps que la capitaine, une vieille affaire de disparition refait surface. No se rend compte qu'il suffisait de gratter un peu, mais l'équipe du coin avait laissé filer les indices, un peu trop facilement.
Et elle ne sera pas au bout de ses surprises.
● J'ai apprécié cette intrigue policière qui se révèle extrêmement addictive. Elle monte en tension progressivement, sans en faire de trop, de manière juste et bien équilibrée.
Une intrigue qui fait la part belle à cette capitaine à la gueule cassée, mais aussi à ses nouveaux coéquipiers.
Une intrigue qui ne noie pas le poisson inutilement, qui sait rebondir au bon moment et surprendre.
J'ai autant aimé les portraits humains que ceux de la campagne aveyronnaise.
Pour une fois que Paris ne la ramène pas trop.
J'ai aimé force et faiblesse dans ce personnage abîmé mais résilient.
● En bref, un polar plein de qualités, empreint de mystères et d'humanité. À recommander aux ameuteur.ices du genre.
Probablement pas le dernier que je lirai de l'auteur.
Papillon de nuit - R.J. Ellory (traduction Fabrice Pointeau)
● Daniel Ford attend son heure dans le couloir de la mort. Un prêtre se présente pour recueillir son histoire. D'abord réticent, Daniel finit par lui livrer l'histoire d'une amitié qui l'a conduit à sa perte.
● Difficile de rester insensible à cette histoire d'un jeune garçon qui un beau jour en rencontra un autre et eut pour lui une amitié indéfectible. De celle qui vous élève, vous emmène au-delà de vos rêves et parfois finit par toucher au cauchemar.
Papillon de nuit est un roman noir qui dresse la chronologie d'une vie et d'un pays.
Dans ce roman aux allures de policier vous plongerez au plus profond non seulement de l'âme d'un condamné à mort, mais à travers lui, dans les travers de l'Amérique de Kennedy à Reagan.
L'histoire et L'Histoire s'entremêlent alors avec brio.
Des thèmes très forts sont abordés qui poussent à la réflexion, rendent même un tantinet nostalgique.
Et même si j'ai vu venir le twist final, ça n'enlève rien à tout ce que j'ai ressenti et à ce que je ressens encore en pensant au destin de Dany.
● Ce roman est une réussite qui ne peut que vous emporter. Malgré une certaine noirceur, il y a des instants lumineux.
Et y a pas à dire, R.J. Ellory s'y entend vraiment pour livrer au lecteur.ice des destins bouleversants, pour dépeindre aussi le contexte social et politique dans lequel évoluent ses personnages.
"Je regarderais en arrière et je reverrais le garçon que j’avais été debout au bord de la route, avec dans les yeux du chagrin et de la douleur, et un étrange sentiment d’échec. Tu n’es pas celui que je voulais que tu sois, me dirait cet enfant, et je saurais qu’il disait vrai."
"Je repenserai à ces premières années, aux bleus et aux larmes à la passion et à la promesse de l’avenir, aux douleurs que nous avons endurées dans notre naïveté tandis que nous regardions autour de nous avec émerveillement, tels des réceptacles que le monde remplissait à ras bord… le bruit et la fureur… le tonnerre de la vie… Tout ça… je me souviendrai de tout ça."
Nous rêvions juste de liberté - Henri Lœvenbruck
● À Providence, quand le lycée, c'est pas vraiment ça, quand la vie c'est pas vraiment ça, on sort du désœuvrement comme on peut.
En étant de moins en moins dans les clous.
Quand on est LA petite bande de voyous du coin à abattre, forcément, y a un moment où ça casse. Et ça casse.
Alors y a plus qu'à se barrer, fuir avec cette urgence de vie, de liberté dans les tripes.
● Nous rêvions juste de liberté, c'est l'histoire d'une bande de copains qui s'est laissée portée par le vent de la liberté et des promesses.
Celle d'une vie meilleure, loin de la misère sociale, loin de l'abandon, loin du rien.
Celle faite aux potes, aux best friends forever, aux frères choisis.
À Providence, plus rien ne pouvait retenir Hugo, Oscar et Alex. Même pas leur chef de bande Freddy.
Alors ils ont tracé la route, leur route, construit quelque chose en chemin, malgré les dérapages et le reste. Du beau avec quelques trucs moches dedans.
En chemin, ils se sont fait un nom et des amis, de nouveaux frères.
Mais comme une réputation ça ne se bâtit pas qu'avec des sourires, y a eu quelques embrouilles aussi.
Ça a même merdé grave.
Mais un certain rêve était au bout du chemin, un rêve partagé jusqu'à un certain point.
Un sacré point de rupture mème.
On croit vivre un rêve et puis vient le réveil. Il peut être brutal. Il le fût.
● Ça faisait un moment que j'avais de très bons échos de ce roman, il attendait sa bonne heure dans ma bibliothèque.
Je vais pas vous dire que je regrette d'avoir attendu, y a eu d'autres livres entre temps.
Mais je suis heureuse de l'avoir enfin lu parce qu'il m'a rempli le cœur.
Les histoires d'amitiés (amitié et âmes écorchées), de fraternité, ça me touche particulièrement.
J'ai fait un chouette road trip à l'arrière de la lipstick d'Hugo Felida, un voyage chargé d'une certaine douleur et de cette folle furieuse envie de vivre.
Tant pis pour les erreurs, tant pis pour le cœur serré à la fin, ce fût beau.
"Je me disais que peut-être on finit toujours par perdre les gens qu'on aime, et qu'Alex avait sûrement raison de voir seulement la vie en noir, pour pas être déçu. C'est tellement triste quand le bonheur s'arrête que je suis pas sûr qu'il vaille le coup."
"Plus le temps passe, plus j'ai l'impression de voir nos libertés s'abimer, comme un buisson auquel on fait rien que de couper les branches, pour son bien. J'ai le sentiment que, chaque jour, une nouvelle loi sort du chapeau d'un magicien drôlement sadique pour réglementer encore un peu plus nos toutes petites vies et mettre des sens interdits partout sur nos chemins."
Tu comprendras quand tu seras plus grande - Virginie Grimaldi
● Anéantie par le décès de son père, Julia sombre.
A bout, cherchant à remonter la pente, elle postule en tant que psychologue pour une maison de retraite nommée Les Tamaris, dans le Sud Ouest de la France.
Là, malgré les doutes, au bord de l'océan elle va abandonner ses préjugés sur les personnes âgées et se reconstruire petit à petit.
● Dès les premières pages, c'est le rire qui s'annonce. Car malgré ce qu'elle vit, Julia est dotée d'un humour indéniable. Elle dégaine des expressions pas piquées des vers plus vite que Lucky Luke son pistolet.
La tendresse s'invite aussi au tournant et le lecteur découvre (si jamais il l'ignorait) que le 4eme âge est, malgré certains soucis, bel et bien vivant, farceur, rieur, facétieux.
Les visages de Louise, Elisabeth, Gustave, Pierre, Rosa et même ce c. de Léon, restent imprimés dans le cœur bien après avoir tourné la dernière page.
Et puis il y a les collègues, Greg et Marine, impayables, dispo pour 400 coups ou soirées "on se rebooste le moral/on refait le monde".
Il y a l'amie de toujours, présence lointaine mais que l'on sent si vitale. Et enfin la famille, tenue à distance "parce que", mais essentielle.
Il y a donc beaucoup de rires et sourires entre ces pages, mais il y a aussi le cœur qui déborde parce que le deuil et la douleur sont là encore.
Et forcément, ça réveille des choses et ça touche juste, là où ça fait toujours mal.
Pour autant, le roman de Virginie Grimaldi, malgré ce qu'il aborde (vieillesse, perte d'autonomie, solitude, rupture et deuil) n'est pas triste. Bien au contraire. Il est plein de cette vie à laquelle on tient malgré tout, il est fait de sourires, de beaucoup d'amitiés, amour et humanité.
● Je savais l'autrice drôle pour avoir lu sur facedebouc ses "cartes postales à mamie", je vois que ce côté pétillant se retrouve dans son écriture de roman. Et c'est un vrai plaisir, de ce qui ne se boude absolument pas.
En bref, ce livre est un petit bonbon qu'il ne faut pas hésiter à dévorer ou savourer. C'est du feel-good book comme on aime si réfugier quand le besoin se fait sentir.
"Certains disent que la vieillesse est un naufrage, moi je pense que c'est une chance. Un honneur. Tout le monde n'y a pas accès. Et puis, je pense que ce n'est pas pour rien qu'elle est si difficile.
- C'est-à-dire?
- Si la vieillesse était douce à vivre, personne ne voudrait que ça s'arrête. Le fait qu'elle soit si rude rend l'existence moins attachante. La vieillesse a été inventée pour se détacher de la vie."
"- Je me suis bloquée le dos en faisant de la gym .
- D'accord . Déshabillez-vous et penchez-vous en avant .
Je me retiens de lui dire que ça fait longtemps qu'on ne m'a pas dit de telles choses..."
La 25ème heure - Virgil Gheorghiu (traduction Monique Saint-Côme)
● Dans un petit village de Roumanie, il est un jeune homme amoureux qui rêve d'un avenir radieux avec sa fiancée. Alors qu'il s'apprête à partir pour les States, un drame survient qui le retient au pays. Contre mauvaise fortune, l'homme fait bon cœur, mais c'est sans compter la vilénie d'un petit fonctionnaire de police. Débute alors un voyage vers les enfers pour Johan Moritz.
● Punaise quelle histoire! Je crois avoir rarement lu un roman autant dénué d'espoir, avec une atmosphère aussi plombante.
Cela va au-delà de la traversée du désert, c'est le purgatoire intégral.
L'avilissement de l'être humain dans tout ce qu'il y a de plus horrible.
Ce roman est indubitablement le portrait d'une déshumanisation totale.
Vraiment il faut avoir le moral pour s'attaquer à ce roman et supporter tout ce que subit ce pauvre homme et avec lui, bien d'autres. Si le mot injustice avait besoin d'une définition, d'un exemple, il faudrait citer ce roman et ce personnage dont la vie en est la parfaite incarnation.
Si la guerre ne fait pas de cadeau, il est des hommes qui n'en font pas non plus.
● Je ne saurais dire si ce roman m'a plu tant il est sombre et, je me répète, dénué de tout espoir. Pourtant il y a des leçons à en tirer. Il est certain que je n'oublierai pas ce roman... Je retiens aussi quelques longueurs inhérentes à certaines théories que développent l'auteur et qui n'ont pas totalement retenues mon attention...
"A partir du moment où la soif de l'homme pour la Justice et pour la Liberté est taxée de folie, l'homme n'existe plus. Il peut posséder la civilisation la plus évoluée de l'histoire, mais cette civilisation même ne lui est plus d'aucun secours."
"Je n’ai pas volé, je n’ai pas tué, je n’ai trompé personne et je n’ai rien commis de ce que défendent la loi et l’église. Si je ne suis ni criminel, ni voleur et ni malfaiteur, pourquoi me gardez-vous enfermé ? Vous m’avez enfermé et torturé jusqu’à ce que je ne sois plus qu’une ombre sur le sol. J’ai été enfermé dans quatorze camps. Je crois que le moment est venu de vous demander ce que vous avez à me reprocher."
Les larmes noires sur la terre - Sandrine Collette
● Moe quitte son île pour la Métropole au bras d'un type plus âgé qui va lui révéler son vrai visage.
De la soumission à une forme d'esclavage, la gamine va s'enfuir avec son nouveau-né. Démunie, elle sera arrêtée et enfermée dans un centre aux allures de décharge où les moins que rien, comme elle, ont peu d'espoir d'en sortir.
● Un récit déchirant, celui d'une jeune fille qui avait des rêves et qui, au lieu de cela, choit dans un cauchemar sans fin. Et puis dans son malheur, elle est adoptée par un clan de sœurs d'infortune. Ce n'est pas mieux forcément cette vie à la casse, mais ça n'est pas tout à fait pire.
Les portraits de ces femmes sont à la fois bouleversants et éblouissants. Si l'humanité a fuit ce monde, elle s'est réfugiée dans le corps et le cœur de ces clans. Que la sororité est belle quand elle s'affirme ainsi, envers et contre tous.
● Un roman noir de chez noir, ici aussi l'humanité est piétinée. Heureusement la solidarité est là au bout du chemin. Tout au bout.
L'histoire est lourde à porter, elle fait frémir mais la lumière qui s'est installée petit à petit m'a permis d'aller au bout malgré une pause.
"Elle comprend cette sorte de résignation à rester là, quand rien ni personne n’a les bras ouverts pour vous accueillir ou vous accompagner dehors, quand on se dit que peut-être de l’autre côté, dans ce monde qui a changé sans vous attendre, ce sera pire."
"Demain, ça ira mieux. Il faut se méfier de ces journées où on s’écroule, on fait des choses qu’on regrette toute sa vie."
ATOM[KA] - Franck Thilliez
Série Sharko/Hennebelle
● Le couple/duo du 36 Quai des Orfèvres veut un enfant en cadeau de Noël, mais dans cette période de fête, ce qu'on leur offre c'est une sale affaire et des démons surgissant du passé.
Un journaliste spécialisé faits divers est retrouvé assassiné et voilà nos enquêteurs lancés sur une sombre piste de revivals des lacs gelés. Dans cette affaire tordue ils vont croiser un enfant perdu irradié, un moine psychopathe, un cahier aussi convoité qu'un horcrux, un scientifique qui a encore vrillé, tout ça sur fond d'expériences "la mort je m'en bats la rate".
Bref, de Paris à Tchernobyl, il n'y a qu'un pas que Sharko et Hennebelle franchissent main dans la main. Pour le meilleur et pour le pire.
● Une nouvelle enquête hautement radioactive que j'ai suivie avec intérêt (hormis certaines préoccupations du couple qui, si elles sont là pour montrer l'humanité de nos enquêteurs, n'ont pas beaucoup retenu mon attention). Au-delà de l'enquête en elle-même, riche de suspens et tensions, le fond est toujours aussi documenté et intéressant et donne, encore une fois, l'envie de s'intéresser au sujet latent.
Je me demande quelle piste scientifique sera abordée dans la prochaine enquête. De là à ce qu'on pense que je suis bien plus intéressée par cette partie narrative que l'enquête à proprement parler... En vrai, l'une ne va pas sans l'autre et sont plus que passionnantes. C'est toute la qualité que je trouve dans cette série de Thilliez, on en ressort toujours instruit de quelques données supplémentaires.
"Les steppes avaient cette capacité à transformer la lumière rasante du soleil en une pluie d'étincelles. La nature buvait l'eau des lacs aux formes douces, les torrents rageaient, les forêts de pins et de bouleaux s’accrochaient aux flancs des montagnes prisonnières du givre. Des bleus stellaires, des verts de jungle, des blancs furieux bataillaient dans ces arènes de silence et donnaient l'envie de se coucher là, à regarder le ciel indéfiniment."
Et voili et voilou. A tout bientôt j'espère!
Et hésitez pas à laisser un mot, ça fait toujours TRÈS plaisir :)
19 commentaires
J'ai trouvé l'intrus (tout relatif), c'est "Tu comprendras quand tu seras plus grande", ça a l'air bien trop joyeux, non ? =P
Sans trop de surprise, rien ne me parle vraiment. C'est "Nous rêvions juste de liberté" qui m'attirerait le plus, si ce n'était pour cette fin qui me peine d'avance. ^^'
Je savais que quelqu'un la ferait :p
Tu sais quand je rédigeais le billet, je me suis dit "rho mais tu as lu pas mal de livres bien sombres en fait". Sauf que mis à part 2 je ne les ai pas enchaînés, il y a ces fameuses lectures sfff entre eux. Ça temporisait.
Mais ce qui est certain, c'est qu'il y a au final, un fil conducteur entre pas mal de ces romans.
Nous rêvions juste de liberté est génial, vraiment. Comme Papillon de nuit. 2 très très belles histoires. Des destins qui prennent aux trippes.
Entre tous, je te les conseille. Il n'y a que La 25ème heure que... non vraiment non, c'est horrible cette histoire, il n'y a rien de lumineux qui s'en dégage, trop sombre. Je crois que même Si c'est un homme ne m'a pas fait cet effet là. Bon je ne regrette pas sa lecture hein.
Ah j'oubliais, je ne lis pas les 4ème de couv, de sorte que je ne sais rien de l'histoire avant de commencer les romans. Souvent il ne me reste que le souvenir "il a plu ou pas aux copinautes". On ne peut donc pas dire que c'est un choix délibéré de lire du sombre, voire très sombre (hors roman policier hein)
Toujours là pour mettre les pieds dans le plat, à votre service ! >.<
Je fais un peu pareil, mais j'arrive à ne pas tomber sur des romans sombres, comme quoi... =P Mais ce n'est pas un problème de toute façon, tant que ça te plaît. Je me souviens d'une précédente discussion en commentaire où tu disais que ça ne te dérangeait pas, au contraire, donc tant mieux. ^^
P1s les pieds dans le plat :) ça m'a amusée.
J'ai peut-être une prédisposition inconsciente qui fait que pour X raisons ces livres rejoignent ma PAL. Genre un truc dans le subconscient, comme un message subliminal :p
Parmi ces romans, certains m'ont vraiment surpris par leur noirceur quand même. La 25ème heure par ex, il m'a été super vendu par une copine du book club (c'est son coup de coeur de tous les temps) et ben, waaah jamais je ne mettrai un tel roman en top1, trop flingant :p
Et oui, j'ai bien dit ça, les lectures sombres je ne les rejette pas. Ça me bouleverse, me fait réfléchir etc. Mais il ne faut pas que ce soit au point de ne rien m'apporter, d'être malaisant 100%.
Bref, suis pas sûre de me faire comprendre, pas grave :p
Une sélection plutôt polar, donc. Avec un intru comme dirait Baroona.
Un peu pkus que un seul intru en fait :p Polar et + encore
Bon ce sont des livres que je ne lirai sans doute jamais mais c'est très intéressant en tout cas. Tu lis du polar scandinave toi ?
Hello
Je ne suis pas surprise et ça se comprend vu tout ce qu'il y a à lire. Après si ça peut donner des idées de romans à offrir (ou pas :p )
Oui j'ai déjà lu des auteur.ices scandinaves,why?
Jolie sélection ! Le Ellory me tente beaucoup pour le coup.
Si le Ellory te tente et te plaît, je pense que le Loevenbruck pourrait aussi t'embarquer. Les 2 ont quelque chose de similaire.
Ah super, c'est la première fois que je vois un retour sur Virginie Grimaldi, je me demandais ce que valaient ses bouquins! :)
Je dirai que c'est tout à fait divertissant, une bonne parenthèse entre des lectures plus lourdes. Et ça fait sourire et ça fait du bien.
J'ai beaucoup aimé le Norek aussi, et ce ne sera pas le dernier pour moi non plus :)
Il y en a 4 autres il me semble donc ça devrait aller. :)
Coucou ma C'era ! Belle brochette de policiers ! je n'ai que le Norek en lecture commune ! j'ai adoré celui-ci que j'ai lu juste avant le premier confinement je crois ! ça ferait un excellent téléfilm ! Il me reste surtensions et entre deux mondes de cet auteur dans ma pal ;)
Bonne continuation. Des bisous; Prends soin de toi !
Hello Lili.
Contente de te voir par ici.
J'aurai mis du temps à le lire et j'en sors enthousiaste. On échangera peut-être sur d'autres titres.
Prends soin de toi itou, la bise.
Bonsoir itenarasa, des livres cités, je n'ai lu que le Norek qui n'est pas mal mais je préfère les romans qui se passent dans le 93. Cet ancien policier sait de quoi il parle. Bonne soirée.
houlala, je reviens très tardivement sur ton commentaire Dasola. Je te prie de m'en excuser.
Ces derniers mois m'ont laissé très peu de temps et d'envie de revenir vers le blog (le mien, les autres).
Bref, merci de ton retour. Il faudra que je m'intéresse à ces fameux titres se déroulant dans le 93 alors. Il y e a une bonne flopée!
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