En BREF, j'ai lu... - Avis sommaires #9
08/09/2022
Me revoilà pour un En bref spécial lectures imaginaires comme annoncé dans le précédent (punaise 21/12/2020!).
(article commencé avec envie il y a donc plus d'une année mais... pour différentes raisons dont un épuisement certain, n'ai jamais pu le terminer. A la faveur des congés la motivation est enfin là).
Des romans, nouvelles, novellas dont la lecture remonte donc pour certain.es à plus d'une année et dont je vais essayer de faire remonter des tréfonds de ma mémoire, le souvenir.
A l'impossible nul n'est tenu!
Bonne lecture :)
Bienvenue à Sturkeyville - Bob Leman (traduction de Nathalie Serval, couverture de Stéphane Perger, illustrations intérieure Arnaud S. Maniak)
Un recueil de 6 nouvelles fantastico-horrifiques publié aux Éditions Scylla et figurant au catalogue Dystopia
- La Saison du ver
- La Quête de Clifford M.
- Les Créatures du lac
- Odila
- Loob
- Viens là où mon amour repose et rêve
● Qu'il fut plaisant de découvrir cet auteur, son style et cette ville imaginaire qu'est Sturkeyville. Une ville tout ce qu'il y a de plus cauchemardesque et poisseuse.
6 nouvelles dont l'ambiance mystérieuse et angoissante, aux airs lovecraftiens, a de quoi coller des frissons, de peur ou de dégoût.
C'est que je n'aimerais pas y vivre moi dans ce bled paumé des Appalaches du Nord.
Trop glauque, trop sombre, trop de phénomènes et gens bizarres, voire pas mal dangereux...
Mais quand même, c'est bon d'avoir un peu les chocottes, ça a un goût de reviens-y, de curiosité malsaine, une envie comme ça assez irrésistible d'aller creuser ce terrain d'émotions particulières.
Il faut dire que malgré l'horreur, dans chacune de ces nouvelles, l'humain reste présent dans le monstre et monstrueux qui est donné à voir. Je dis bien voir car l'ensemble est aussi très visuel.
● Selon moi, Bob Leman n'a rien à envier à un Edgar Allan Poe ou un Lovecraft, il maîtrise son sujet, l'ambiance, le genre. Dommage qu'un auteur aussi talentueux n'ait pas été si prolixe. Mais bon la quantité ne fait pas forcément la qualité n'est ce pas.
Bienvenue à Sturkeyville, c'est vraiment du bon, du solide et je suis bien heureuse que les éditions Scylla ait mis à l'honneur son auteur. Peut-être un nouveau recueil dans le futur pour les autres nouvelles???
"Elle vécut là dans une nuit et une terreur perpétuelles, prodiguant sa tendresse et ses soins aux quatre petits monstres qui avaient été ses filles, leur chantant des berceuses dans les ténèbres moites du sous-sol où elles avaient trouvé refuge."
"Mais cette maison-ci est d'une tout autre nature. [...] Cette maison-ci respire l'amour, quoiqu'elle n'ait personne à aimer depuis presque un demi-siècle."
La lignée de la Croix, tome 1 : Les arbres du Nord - Nora Lineur
● An 432, le grand empereur des Lands, Aloysius, veut asseoir définitivement son autorité sur tous les peuples.
Mais au Nord, les Loups et les Cuaurochs qui peuplent les Îles Galantes n'ont aucune intention d'être asservis par les Rocans.
L'union fragile de ces deux peuples "sauvages" parviendra-t-elle à bouter l'envahisseur hors de leurs terres?
● J'ai entamé cette lecture avec curiosité et envie. S'agissant du 1er roman d'une copine du book club, avec attention aussi.
L'avant-propos est intéressant, le prologue accrocheur. Ce qui suit dans la même veine.
Les enjeux narratifs sont bien posés et ont su susciter mon intérêt de bout en bout.
Les personnages, charismatiques et attachants, sont sans doute pour moi le point fort de ce roman.
À commencer par Adriane, l'Impavide, fille de Melin, chef de la tribu des Loups.
Un personnage féminin comme on aimerait en voir plus souvent. Guerrière accomplie, sauvage et pourtant pleine d'humanité.
À l'image de son père et de son peuple non belligérant.
J'ai vraiment apprécié leurs principes de vie, respect de chacun, homme comme femme (et on a besoin de voir véhiculer ce genre d'image en fantasy, celle où les femmes ne sont pas là que pour être asservies, dominées, violentées), respect enfin de la Terre.
À l'inverse les Cuaurochs, à qui ils doivent s'unir par nécessité, génèrent, hormis quelques-un.es, peu de sympathie.
Et paradoxalement, les Rocans, venus envahir les Îles Galantes avec à leur tête Octave, Erec et Lius m'ont inspiré confiance assez rapidement.
Il va de soi que cette sympathie est orientée par la narration et ce qui lie ou va lier nos personnages.
Si les enjeux sont sans surprise, il n'en reste pas moins que règne tout au long de la lecture, une certaine tension.
Tension qui a maintenu plaisamment mon intérêt.
J'ai englouti le roman avec la hâte de savoir ce qu'il adviendrait et comment l'histoire se conclurait.
Cette fin suscite un léger pincement de cœur, accompagné d'un sourire de satisfaction.
● Quant au style, je dirai qu'il est agréable... Et perfectible tant au niveau de la syntaxe que du rythme.
Il y a peut-être aussi un aspect par trop manichéen au récit, ça mériterait d'être complexifié.
En tout cas, ce que je peux dire, en toute sincérité, c'est que ce 1er roman a toute sa place ici, lecture facile, plaisante. Et je reste bien curieuse de voir comment vont évoluer et l'univers et les personnages.
Laurie au boulot! Et merci de ta confiance. Je te souhaite une bonne continuation en tant qu'autrice.
"Les Impavides étaient les meilleurs guerriers qui soient sur Lands. On les appelait ainsi car ils portaient des masques. Les Rocans disaient que voir un Impavide, c'était l'annonce de sa mort prochaine."
Le guide du voyageur galactique, H2G2 1 - Douglas Adams (traduit par Jean Bonnefoy)
● Arthur Dent, anglais moyen luttant contre la démolition de sa maison se voit embarquer, après la destruction de cette dernière et de la Terre, dans une fuite à travers la galaxie dans le sillage de son meilleur ami.
Meilleur ami qui se révèle être un alien, de la catégorie astrostoppeur (hitchhiker de l'espace).
● Voilà une histoire totalement barrée et ma foi, fort plaisante à suivre.
Le ton se veut, et est purement et simplement humoristique. L'histoire s'articule autour des ressorts co(s)miques de la manière la plus abracadabrantesque qui soit.
C'est bourré de jeux de mots, de situations qui prêtent à rire, désopilantes. C'est le mot qui sied à ce tome 1.
Les dialogues à eux seuls valent le détour.
Mention spéciale au robot dépressif Marvin.
● Bref, sympathique découverte de cet auteur et de cet univers qui se poursuit sur 5 autres tomes.
A ne pas prendre au sérieux surtout. Douglas Adams c'est le pendant SF de Pratchett en fantasy
A noter, le tome 1 peut se suffire à lui-même.
"Tu sais, remarqua Arthur, c'est en de tels moments, quand je me retrouve coincé dans un sas vogon en compagnie d'un natif de Bételgeuse, au seuil d'une mort imminente par asphyxie dans les profondeurs de l'espace, que je regrette de ne pas avoir écouté ce que me disait ma mère quand j'étais petit.
— Eh bien, que te disait-elle ?
— Je sais pas. J'ai pas écouté."
"Durant un moment, il ne se produisit rien.
Puis, au bout d'une seconde à peu près, il continua de ne rien se produire."
Journal d'un AssaSynth, tome 1 : Défaillances systèmes - Martha Wells (traduit par Mathilde Montier)
● Un androïde de sécurité, un SecUnit appelé AssaSynth, escorte une équipe de scientifiques en mission d'exploration d'une planète à peine terraformée.
La situation pourrait être idyllique, si ce n'est les menaces auxquelles ils se voient soudainement confrontés.
Tel est le pitch de ce 1er tome ouvrant la porte à cette série de novellas récompensée de plusieurs prix.
● Bien que sa présence ne soit pas au goût de tous, et que l'AssaSynth lui-même trouve les humains ennuyeux au possible, leur préférant le visionnage de séries, les évènements vont finir par prouver son utilité au plus récalcitrant.
C'est que ce SecUnit, contrairement aux androïdes synthétiques comme lui, dispose, après un petit hack personnel, de son libre arbitre.
De quoi lui garantir une formidable et indépendante capacité d'analyse des évènements, lui permettre d'anticiper les risques et de réagir au quart de tour, à sa manière.
De quoi aussi laisser émerger sa part enfouie d'humanité et laisser s'exprimer émotions et empathie.
Évidemment, iel est aussi une bête de guerre, équipée tel un char.
Quant aux scientifiques, humains augmentés, ils forment une équipe éclectique dont nous ne savons en définitive quasi rien. Certain.es plus que d'autres semblent dignes d'intérêt et d'un attachement. Cependant, ils ne semblent être là dans ce tome que pour donner du poids à notre cyborg.
● J'avoue avoir craint au début de la novella de ne pas accrocher. Cependant, la narration laissant place à l'action, aux échanges, à une réflexion aussi sur la condition robotique et autres IA, j'ai fini par me laisser prendre dans les filets de cet AssaSynth, caustique et ma foi fort sympathique.
L'issue de l'histoire est bienveillante, pt'être un chouïa trop convenue mais qu'importe, elle ouvre la porte à une suite riche de nouvelles aventures où ce sera un plaisir de retrouver notre AssaSynth émancipé.
Un tome introductif pas mal plaisant, même s'il ne révolutionne pas le genre. En tout cas, la sympathie que m'inspire AssaSynth compte pour beaucoup dans l'envie de poursuivre l'aventure.
"Je ne sais pas m’y prendre avec les vrais humains, d’accord ? Ça n’a rien à voir avec mon module superviseur piraté (je ne suis pas paranoïaque), ni même avec eux ; c’est moi. Je suis un effroyable AssaSynth, on le sait tous, et ça rend tout le monde nerveux, ce qui me stresse encore plus."
Apprendre si par bonheur - Becky Chambers (traduction Marie Surgers)
● A bord du vaisseau Merian, quatre astronautes partis en exploration à la recherche d'exoplanètes présentant des signes de vie.
Un journal de bord tenu par l'un.e d'entre elleux faisant état de ce voyage, à la rencontre de l'inconnu et de l'autre.
● Un roman autour de l'exploration, où la bienveillance, la solidarité et l'humanité sont au cœur de l'histoire ainsi que les doutes, les espoirs, la place humaine. Un roman qui confronte aussi au réel. Un roman où les amoureux.ses de la hard sf, bien que légère, devraient y trouver leur compte.
A mon niveau, si certains concepts ne m'ont pas paru évidents en 1ère lecture, cette dernière n'en a pas été pour autant fastidieuse.
Je garde ce sentiment d'avoir fait partie de cette équipe si riche dans leur individualité, d'avoir fait un chemin intime et pluriel, un peu comme dans L'espace d'un an.
D'ailleurs, en parlant de ce roman, je dois dire que je lui garde ma préférence, sans doute car Apprendre si par bonheur, malgré de grandes qualités, m'a laissée un tantinet sur ma faim et un petit sentiment de survol de données où j'aurais aimé plus d’approfondissements.
● En bref, s'il m'a manqué d'être totalement renversée par cette novella, il reste que sa lecture m'a tout de même bien ravie!
"Et j'étais heureuse. Sereine comme jamais auparavant. J'étais entourée de gens que j'aimais, tranquille, libérée du bruit, du besoin d'impressionner, de la civilisation. Ici, nul ne se souciait des questions de statut et d'argent, de pouvoir ; ni intrigues amoureuses ni assassinats. Il n'y avait que l'eau et les merveilles qui y vivaient. Sur Aecor, les priorités étaient les bonnes. Je ne suis pas croyante, mais cette lune me donnait le sens du sacré. Une planète monastique qui récompensait le travail, la patience, en offrant des trésors : le calme, la beauté, le savoir".
Poumon vert - Ian R. MacLeod (traduction Michelle Charrier)
● Sur la planète Habara, dans une société matriarcale, Jalila vit avec ses trois mères dans les hautes plaines de Tabuthal. Elles vont les quitter pour se poser sur la côte à Al Janb.
● Poumon vert est une nouvelle d'ambiance, d'apprentissage, l'immersion y est totale après un petit temps d'adaptation. Il faut se laisser porter, par l'écriture, poétique, par le récit, dense, par son personnage et son évolution, par l'univers, construits avant tout autour de la femme.
● Entre les lignes, il y a peut-être plus à lire que ce que le récit dit. C'est la réflexion que je me suis faite.
● Poumon vert, c'est un monde foisonnant, une belle écriture, très évocatrice, qui transporte et enchante. J'ai apprécié le voyage.
""Tu viens de Tabuthal, paraît-il. Le ciel doit y être très différent."
Jalila acquiesça. Une brève vision flamba en elle. Là-haut, par les nuits les plus claires, les plus froides, on se sentait entourée d'étoiles. Malgré la passion que lui inspiraient à présent la fétidité et les surprises de la côte, quelque chose lui manquait toujours. Une "impression" autant qu'un lieu, car le théâtre de son enfance lui semblerait sans doute sinistre et isolé, si elle y retournait. Sa nostalgie s'expliquait certainement par la sensation de perdre son enfance".
Un long voyage - Claire Duvivier
● Après le décès de son père, le jeune Liesse est confié au comptoir impérial de Tanitamo. Alors qu'une destinée d'esclave lui est réservée, sa rencontre avec Malvina Zélina de Félarasie, jeune régisseuse au brillant avenir, va transformer son existence et en faire le témoin des transformations de Solmeri.
● Témoin dans l'ombre, Liesse le scribe se fait le restituteur de l'Histoire, et l'histoire individuelle, la sienne, celle de Malvina et celle d'un peuple. Il réhabilite aussi à sa juste place celle injustement bafouée. Et c'est bon et c'est bien ainsi.
C'est un voyage plein d'humanité.
● Le roman est classé fantasy, et c'est quelque chose qui m'a pas mal étonnée tant, à mon niveau, je n'ai pas eu le sentiment de lire de la fantasy. Pour moi, il y avait un certain côté fantastique au récit, peut-être parce que je me suis focalisée sur ce qui survient à Malvina (et d'autres). Mais bon, ça reste un ressenti et la majorité a su identifier les codes de la fantasy sur lesquels mon attention ne s'est pas portée :)
● J'aurais voulu être aussi emportée et unanime que la majorité des lecteur.ices quant à Un long voyage, mais je n'arrive pas à mettre le doigt vraiment sur ce qui m'a manqué. Une émotion plus vive, un transport plus fort? Au moins il est lu et il m'en reste quelque chose.
"Elle sent quelque chose qui se brise en elle, pas une part d'elle-même, plutôt comme une vitre sale qui l'isolait du monde. Elle est secouée d'une vive émotion, et à son intensité elle saisit qu'elle n'a rien ressenti de réel depuis qu'elle se trouve en Basse-Quaïma".
Et voilà, fin de mes réminiscences livresques de... hum... 2020!
Il n'est jamais trOp tard pour en parler, non?
(Qu'on se le dise, le prochain billet sera soit mon retour sur les Utopiales 2021, soit sur une de mes lectures marquantes de 2021)
14 commentaires
Belle mémoire !
Je suis un peu triste que tu n'aies pas accroché plus que cela à "Un long voyage", mais c'est bien compensé par ton appréciation de "H2G2" (dont je n'ai jamais lu les suites alors que j'ai lu ce tome 3 fois) et "Le Journal d'un AssaSynth" (la sympathie pour AssaSynth est littéralement LA raison de lire cette série ^^).
"Apprendre si par bonheur" est dans ma liste à lire, "Poumon vert" dans ma liste à relire, "Bienvenue à Sturkeyville" dans ma liste à pas-pour-moi.
Est-ce que les tomes 1 ont été suivis de leurs petits frères en 2021 ou 2022 ?
Oui, désolée Baroona. Mais tu sais, je suis très loin de ne pas avoir aimé hein. Peut-être en attendais-je trop par rapport aux avis dithyrambique ? À distance, je me souviens avoir malgré tout apprécié de nombreux moments.
Ça m'a fait un peu, même si différemment, la même impression avec le Becky Chambers.
H2g2 m'a vraiment beaucoup amusée, et je dois lire la suite!
AssaSynth est tellement un personnage plaisant, j'aime bien son côté piquant ^^ Et pour te répondre, j'ai lu la suite en 2021 (mais pas fini...).
Je savais que Bienvenue à Sturkeyville ne t'appelerait pas vu son contenu. Mais qu'est-ce qu'il est bon!
Merci de m'avoir lue et de ton commentaire. Toujours apprécié :)
Haaaa, welcome back !!!!
Trop bien que tu aies aimé Bienvenue à Stuckeyville. Dommage pour Un long voyage. Super pour La poumon vert. Je dois lire Assa Synth (c'est Baroona qui t'a rémunéré pour parler de ce livre? grrr), Apprendre si par bonheur et H2G2 (juste vu le film).
Merciiiiiiiii :p
J'aimerais bien en lire plus des recueils comme celui-là :)
A noter que ça n'a pas été une lecture déplaisante, mais je crois que ma déception est liée au fait que je n'ai pas ressenti le grand emballement que beaucoup avait ressenti pour ce roman. Voilà, ça arrive ^^
Baroona ne m'a pas payée non, j'aurais dû exiger une rémunération tu penses ? :p Franchement, ça se lit tout seul et c'est bien agréable.
Y a eu un film pour Apprendre si par bonheur? alors là, ma mémoire me fait totalement défaut si c'est le cas.
Oui, il fait du lobby éhonté, c'est un scandale.
Je parlais d'H2G2 pour le film ^^
La prochaine fois,je lui soumettrai une facture :p
(noté pour le film :))
Hey! Ah trop bien que tu aies aimé Sturkeyville et Apprendre, si par bonheur. Ça fait plaisir de voir des livres qu'on aime chez les copains aussi. ^^ Assassynth est qund même vachement tentant...
:) ça fait d'autant plaisir que je suis globalement à la ramasse pour ce qui est des lectures partagées (souvent un gros train de retard :p)
AssaSynth je recommande +++ parce que c'est bien! Lance-toi :)
(je me dis que je dois passer te lire depuis un bon bout de temps... dammi un po di tempo)
Stukeyville me dit bien. Comme toi je n'ai que moyennement accroché à Un long voyage.
AssaSynth c'est trop bien, je suis fan :)
Je plussoie pour AssaSynth. Il nous a conquises le coquin! :p
Sturkeyville, c'est tellement bon aussi. J'adore ce type de recueil.
H2G2 c'est très chouette effectivement, et j'aime beaucoup aussi Assassynth. Même ressenti que toi pour Apprendre si par bonheur, la magie n'a pas opéré.
Hello U :)
H2G2 je l'ai trouvé vraiment fun sur pleins de situations. J'espère que la suite est du même acabit :)
Bah c'est ça, tu as tout compris, parfois la magie n'opère pas aussi fort que pour d'autres et perso, ça me fait toujours un peu rager, même si cela ne lui ôte pas ses qualités.
C'est de belles lectures tout ça, bonne reprise ^^
Très sympas dans l'ensemble oui :) Merci !
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