Un billet pour les rassembler tous : Défi Cortex - SFFF takes over the world. Clap de fin
28/02/2021
DEAD LINE
Nous sommes rendu.es au dernier jour du challenge Défi Cortex. Pour ne rien changer, je suis hyper à la bourre dans la rédaction de mes derniers avis. Procrastination quand tu me tiens ^^
Bref, ce serait dommage de ne pas dire quelques mots sur ces romans, novellas me permettant de clore sinon avec brio, au moins honorablement ma participation à ce challenge de Un papillon dans la lune.
LET'S GO
TERRE ERRANTE - Cixin Liu (traduction Gwennaël Gaffric)
Les humains ont chaud aux fesses, le soleil ayant décidé de s'emballer et de les faire griller au barbecue. Pour échapper à ce sort funeste, la solution trouvée par les dirigeants mondiaux, nouvel ordre de la Coalition, est de propulser la planète hors du rayonnement meurtrier du soleil. Un voyage sans retour, éminemment dangereux, entraîne les Humains terrés sous la surface vers un espoir de survie, Proxima du Centaure.
Cixin Liu s'attache à montrer toute la complexité d'un exode à l'échelle planétaire. Complexité technologique, complexité pyschologique.
Si l'action met en scène des colons chinois, on perçoit que ce que vivent les habitants de cette colonie doit être vécu par tout un chacun aux quatre coins de cette terre désormais hostile.
Le récit de ce voyage survivaliste se vit d'abord à travers les yeux d'un enfant. Un enfant né nous explique-t-on après le Freinage. Comprenez par là, après que la Terre est cessée toute rotation.
Sur plusieurs décennies, de l'enfance au 3ème âge, ce que donne à voir ce personnage se révèle à la fois terrifiant et beau : la crainte et la fascination de l'astre solaire, l'océan glacée, la terre brûlée par les tempêtes de plasma et autres irruptions de magma, les pluies de météorites. Les rares immersions en surface font vivre des émotions ambivalentes, entre excitation et terreur, la vie sous terre suffoque aussi parfois.
Le voyage, on le comprend rapidement, n'est pas sans péril. Les catastrophes sont là pour rappeler la réalité, pour ramener l'humain à son insignifiance en regard de l'immensité dans laquelle il erre. L'humilité est de rigueur.
Il peut se dégager une impression de docilité, de résignation, pourtant les signes de lutte intérieure et, au-delà de soi, de rébellion à plus grande échelle sont présents. Se bercer d'espoir, ça va un temps, mais au bout d'un moment, vient le doute et avec lui, la nécessité d'obtenir des réponses, le besoin de certitudes.
Et cela ne s'obtient pas sans remettre en cause l'ordre établi, sans nouveaux bouleversements.
On aurait pu sombrer dans le Eros et Thanatos à tout-va, mais si l'auteur montre la pulsion de vie qui anime chacun dans ce périple interstellaire, il ne s'attarde pas outre mesure sur la nécessité d'union et reproduction. Dans ce nouvel ordre mondial, on mise sur les jeunes, pour autant procréer n'est pas une nécessité absolue, plus un droit octroyé un peu à la roulette russe sur lequel on ne s'attarde pas. Et si des couples se forment, les désirs personnels sont prioritaires, les portant aisément vers d'autres cieux.
Si la question de l'extinction de l'humanité est bien présente, ramenant chacun à la conscience aigüe de sa propre fin dans cette fragile errance, pour autant, le récit n'est pas obnubilé par l'idée de mort. L'espoir est là avec la vie qui s'écoule au jour le jour.
De Terre errante, je retiendrai l'idée du voyage, même en ayant conscience de son inconcevabilité, je me suis laissée porter par les images de cet exode planétaire, en étant tour à tour fascinée, effrayée, émerveillée.
"Je n'avais jamais vu la nuit. Je n'avais jamais vu les étoiles. Je n'avais jamais vu le printemps, ni l'automne, ni l'hiver. Je suis né à la fin de l'Ère du freinage. La Terre venait tout juste d'arrêter de tourner. Quarante-deux années avaient été nécessaires pour interrompre la rotation de la planète, soit trois de plus que dans le plan initial dressé par le gouvernement de la Coalition. Ma mère m'a raconté comment elle avait contemplé en famille le dernier crépuscule. Le soleil était descendu, lentement, comme s'il avait décidé de faire halte sur la ligne de l'horizon. Trois jours et trois nuits s'étaient écoulés avant qu'il disparaisse enfin. Bien entendu, à compter de cet instant, il n'y a plus eu ni "jour" ni "nuit"."
(Terre errante a été adaptée par le réalisateur chinois Frant Gwo sous le titre Liu Lang Di Qiu et diffusé chez Netflix sous le titre The Wandering Earth. Personnellement, je l'ai vu et apprécié pour son aspect visuel et humain).
Dans un lieu sous-terrain ou sous-marin
LES MEURTRES DE MOLLY SOUTHBORNE - Tade Thompson (traduit par Jean-Daniel Brèque)
Molly vit recluse dans une ferme avec ses parents.
Une malédiction assez étrange la contraignant à suivre des règles très strictes pour sa survie et celle de son entourage.
Je me suis laissée totalement embarquer par cette novella qui mixe l'horreur et le fantastique et a même un petit goût d'espionnage. Il y a quelque chose de fascinant à ce qui arrive, à répétitions, à Molly. Dans sa manière de grandir en faisant face à l'étrangeté de la situation, en ne la saisissant pas entièrement d'abord, puis une fois compris (acceptation ou résignation?), dans sa manière de s'en dépêtrer plus ou moins avec succès.
Si les évènements se répètent, l'auteur a eu la bonne idée d'éviter l'écueil de l'ennui. A chaque apparition du double maléfique de Molly, une pièce du puzzle est ajoutée parfaisant la compréhension des évènements, amenant le lecteur à comprendre au rythme même de Molly ce qui lui advient.
Jusqu'à la fin, certains ingrédients (que le lecteur éclairé aura deviné entre les lignes) sont tus afin de maintenir le suspens et continuer de susciter la curiosité du lecteur.
Et je dois dire que cette figure du double malsain, meurtrier a beau avoir été vue et revue, ici tout fonctionne avec pertinence et fluidité.
Chacun trouvera dans ce court texte, incisif, dérangeant, une interprétation qui lui fait sens. A titre personnel, cela a évoqué chez moi la question du double gemellaire, et comment exister au-delà de lui. En tant que jumelle, il a fallu apprendre à grandir individuellement, loin de ce binôme auquel la société, la famille renvoie inexorablement. Aussi, ma perception du texte se place dans l'aspect subsistance de Molly, tuer son double pour exister en tant qu'individu plein et entier.
Il y a aussi la question de ce nouveau soi qui naît tout au long de notre vie, un nouveau soi qui prend le pas sur ce que nous étions jusque-là. Et toutes les questions que cela amène, a-t-il le droit de revoir la copie, de la corriger, de la remplacer?...
Il y a d'autres pistes, plus dans l'aspect maternel et enfantement. Bref, à chacun d'explorer ce à quoi le texte le renvoi.
En attendant, c'était extrêmement bon, passionnant, même avec cette fin un peu abrupte. Je recommande + + + la lecture de ce titre de la Collection Une Heure Lumière. Vous irez à la rencontre d'un auteur au style simple et percutant et d'un personnage intrigant.
"Il existe des niveaux de souffrance qui empêchent toute pensée consciente. De souffrance si pure que le monde s'efface et que votre soi primal, préhistorique, implore les dieux des origines de le soulager ou de le tuer."
"Si jamais tu vois une petite fille qui te ressemble, cours. Si tu ne peux pas courir, bats-toi. On s’en occupera, ta mère ou moi, dès qu’on sera là. Mais cours et crie très fort."
Afrique
BOXAP 13-07 - Amalia et Anastasio
Dans un certain futur, la pollution semble avoir rendue toute vie en extérieur irrémédiablement compromise. Une structure cubique a été construite dans laquelle les humains sont enfermés dans des boxap. Toute interaction autre que virtuelle est interdite, les drones pourvoient aux besoins essentiels et quand nécessaire nettoient les abords de Lassité.
Aïleen vit dans cette routine du tout virtuel sans trop se poser de questions, jusqu'à ce que une opportunité lui ouvre d'autres portes, profondément déroutantes.
Je préviens pour aller au bout de cette dystopie jeunesse, il va falloir passer outre le style... L'abus d'*astérisques* dans les premières pages pour expliciter des termes qui sont, me semble-t-il aujourd'hui connus de tous, a bien failli me faire abandonner la lecture.
Les auteurices ont eu la judicieuse idée d'arrêter ça pour que la lecture se fasse plus fluide et que la narration s'installe prenant le pas sur son vocabulaire numérique.
Pour être sincère, ensuite je suis allée au bout sans déplaisir. Curieuse de cet univers matrixé, de voir l'évolution d'Aïleen après qu'elle ait pris conscience de ce dans quoi elle évolue réellement. Curieuse aussi de ces autres, inscrits dans le monde réel, prêt à se battre contre cette pollution cubique gagnant et détruisant leur espace de vie encore préservé.
Il y avait un potentiel indéniable, des choses à dire, une critique féroce à faire mais ce n'est pas bien amené, tout est ultra prévisible, sans profondeur. La fin est abruptement ouverte, appelant une suite, qui à priori n'est pas prévue. De quoi s'interroger sur les intentions des auteur.ices, pourquoi finir ainsi ou pourquoi ne pas finir?
Par ailleurs, je ne sais pas si c'est parce que je m'étais lancée dans la série Black mirror quelques semaines avant, mais j'ai eu comme un fort goût de copier coller avec un des épisodes de la série.
Bref, tout n'est pas à jeter, je ne crois pas que je serais allée au bout si tel avait été le cas, mais ça méritait d'être mieux narré, mieux creusé, développé, tant au niveau des personnages (qui ont du potentiel), qu'au niveau de l'univers.
Après, je serais curieuse de savoir de quelle manière ce titre a été accueilli par la tranche 10-16 ans...
"On peut souffrir tous les jours et s’habituer à cette souffrance. Et quand la peur devient la meilleure amie de l’habitude, même si quelqu’un court à sa perte, il continue dans ce qu’il connaît, jusqu’au bout.
Personne ne souhaite ton bonheur, on veut que tu en baves plus que nous et on se nourrit de ce sentiment pour nous sentir mieux. C'est en marchant sur ton cadavre qu'on gravira les échelons hiérarchiques. Plus vite tu le comprendras, mieux tu dormiras."
Dans une dimension parallèle ou une timeline différente (Joker)
HELSTRID - Christian Léourier
Helstrid est une planète tout ce qu'il y a de plus inhospitalière mais riche de minéraux convoités par les humains.
Vic s'est lancé dans l'aventure, par dépit amoureux, appâté sans doute aussi par le gain, la mission étant fort bien rémunérée.
A bord de son camion, avec pour seule compagnie une I.A. volubile, le voici en route pour une expédition de ravitaillement tout ce qu'il y a de plus anodine. En principe.
Les premières pages de la novella nous immerge totalement dans les rudes conditions atmosphériques de la planète. Puis, rapidement, dès le début du périple, on verse dans l'affrontement homme/machine.
Vic, le quasi seul protagoniste humain du récit, s'inscrit d'emblée dans la confrontation avec l'I.A. de son camion. I.A. qui, de son côté, cherche par tout moyen à le satisfaire.
Il m'a semblé que nous étions en plein dans le conflit de la volonté humaine, du libre-choix contre un programme informatique, tout ce qu'il y a de plus paramétré, carré, intangible, simple exécutant (de prime abord).
Des deux personnages, l'I.A. a largement emporté ma sympathie tant Vic se montre exécrable.
A un certain moment, je me suis même dit que l'animosité du bonhomme vis à vis d'Anne-Marie (oui c'est le prénom de l'I.A. ^^) avait sans doute à voir avec son échec sentimental. Et sans doute, une fierté toute masculine à ne pas vouloir se laisser dominer par une I.A., d'autant plus qu'elle est féminisée. (bon c'est mon interprétation)
Bon il est heureux que l'histoire sorte de cette querelle de pouvoir et s'emballe par la suite.
Fini le train train tranquille du voyage, les éléments climatiques se déchaînent, le camion perd du terrain avec le reste du convoi. L'expédition est mise en péril ainsi que la vie de Vic. Autant dire qu'il n'y a plus de place à la guéguerre homme/machine. Vic n'a pas d'autre choix que de baisser les armes, ravaler son ego et laisser Anne-Marie prendre les décisions qui s'imposent pour les sortir de la panade.
J'ai plutôt bien apprécié cette partie, plus tendue, plus inquiétante, limite suffocante au fur et à mesure que le temps s'écoule et que l'oxygène vient à manquer.
Je ne peux pas ne pas souligner la beauté dans ce déchaînement d'éléments, on en oublierait presque qu'une fin atroce se projette à l'horizon.
La fin... punaise, c'est là que le bas blesse, j'ai un vague souvenir de certaines choses mais je n'arrive pas du tout à me souvenir de comment ça fini exactement...
Helstrid est une novella plutôt plaisante à lire. Un intéressant huis clos qui a eu le mérite de me faire ressentir la dureté de cette planète et de ce fastidieux périple, ainsi qu'un certain sentiment d'enfermement. Dommage qu'il lui manque un petit supplément d'âme côté personnages.
"Ceux qui s'effacent de votre vie concervent à jamais l'aspect qu'ils revêtaient au moment de leur disparition. L'usante banalité des jours ne vient jamais plus ternir leur image. Peut-être est-ce pour cela qu'ils n'en finissent pas de nous hanter."
"Des sons modulés accompagnaient les mouvements des draperies, des vibrations profondes qui s'assemblaient en harmonies fluctuantes. Sur ce fond grave éclataient, clairs et rythmés, les staccatos des éclairs. Il en résultait moins le tumulte d'un déchaînement naturel qu'une musique barbare, assourdissante, dissonante aux oreilles d'un humain, mais indubitablement structurée."
Bretagne
AMATKA - Karin Tidbeck (traduction Iuvan)
Amatka est une colonie enclâvée dans un désert glacial. Vanja y est envoyée depuis Essre, la capitale, afin d'y réaliser une étude de marché des plus rébarbatives.
Mais une fois sur place, la jeune femme voit sa curiosité piquée par la découverte des textes d'une certaine poétesse disparue, les allusions de certains habitants et ce qu'elle observe et entend aux abords du village.
Quelque chose ici se passe et ce quelque chose est anormal.
Je dois dire que j'ai mis du temps à entrer dans le récit, un temps qui m'a paru presque trop long. Le début, lent, est tout en description, passif, contemplatif. Je sais bien qu'il faut planter le décor et tout, mais là, je n'étais pas entièrement réceptive, peut-être parce que je ne voyais pas vers quoi j'allais à ce moment-là du récit...
Et puis, les rapports de Vanja sur son étude des produits hygiéniques utilisés par les amatkiens, mais quelle barbe à lire!
Heureusement, le récit finit par s'attacher un peu plus aux curieux évènements qui se déroulent en et hors la colonie, mais aussi à ceux qui la hantent. Les liens qui se tissent entre les différents protagonistes prennent aussi plus d'ampleur, leur procurant plus de corps, suscitant plus d'empathie.
Bref, Amatka a fini par me cueillir (avant de me reperdre, un peu...). Quelle drôle d'histoire quand même, très étrange, mais comme elle est intéressante! Construire un récit sur l'aspect vital de nommer toute chose afin qu'elle existe, qu'elle s'ancre dans la réalité et perdure. Belle idée! Pas innovante hein, mais belle.
En même temps, sans nom, les choses, les gens n'existent pas non? C'est à ça que renvoie en grande partie le texte. L'obsession du Collectif et de tous les habitants à maintenir leur univers, à ne pas s'en écarter par la force et le pouvoir des mots qui les définissent tous, individuellement.
Donc à Amatka, tout doit être marqué, rappelé oralement d'abord, repertorié à l'écrit ensuite. Ne pas le faire c'est voir la chose s'évanouir en une flaque visqueuse, supposée contagieuse. Le rituel apparaît pesant, oppressant, contraignant.
Tout est tellement contrôlé, par le Collectif qui veille à ce que tout un chacun, bien à sa place par ailleurs, fasse et refasse, dise et redise, perpétuant leur univers, aussi insipide soit-il.
Toute remise en question de ce système hyper rôdé est étouffée dans l'oeuf. Comment d'ailleurs cela pourrait-il être possible quand les colons eux-mêmes sont prêts à se dénoncer les uns les autres pour préserver leurs habitudes et leur petit confort.
Vanja, sans doute parce qu'elle n'est pas coutumière de cet immobilisme qui frappe la majorité des colons d'Amatka, sans doute parce qu'elle a su garder son libre-arbitre, n'a pas tout à fait envie de se plier bêtement aux règles, n'a pas tout à fait envie de fermer les yeux sur ce qu'elle découvre, n'a pas tout à fait envie d'oublier les textes que des dissidents ont écrit, ce que certains ont instillé dans son esprit. Non elle n'a pas envie d'oublier le pouvoir des mots écrits, prononcés, unis à sa pensée, combien le langage peut se montrer subservif et être une arme contre les carcans du Système. Et tant pis, si cela heurte, bouleverse, bouscule, met en péril, détruit. Au bout, Vanja pressent comme d'autres avant elle qu'il y a tout un autre monde de possibles.
Amatka, abstraction faite de quelques longueurs est un roman somme toute bien plaisant, qui interroge la fonction du langage, interpelle la notion de contrôle et auto-contrôle et bien d'autres choses. Pour tout avouer, les dernières pages m'ont un peu larguée. J'ai eu le sentiment de finir sur une note en mode trip métaphysique dont je suis convaincue de n'avoir pas saisi grand chose... Mais ce n'est pas grave, j'ai composé avec cette légère frustration.
"On s’était occupé de cette femme. Comme on s’était occupé de Lars. Comme on s’occupait de tous ceux qui parlaient à tort et à travers. La peine de mort n’existait pas, dans les colonies. Mais il fallait empêcher les dissidents de mettre la communauté en péril. La procédure neurochirurgicale visant à oblitérer le centre du langage était une solution élégante."
En Antarctique (en tout cas quelque part au Pôle Nord)
Merci Lune pour ce challenge qui m'aura clairement motivée à découvrir certain.es auteur.ices, certaines maisons d'édition, à me rendre compte que je prends plaisir à lire du format court. Bref que du bon!
17 commentaires
Sur le fil ! ^^
J'avais, à mon plus grand étonnement, vraiment bien apprécié le Tade Thompson. J'aime beaucoup les interprétations que tu en fais.
J'avais apprécié "Helstrid" aussi, bien sans être extraordinaire. Et dans mon souvenir, ça ne finit pas vraiment bien, au moins pour un personnage...
Malgré tes petits bémols, "Amatka" reste dans ma liste de livres à découvrir. Je passe pour les deux autres par contre. ^^'
Il est vraiment très bon. Et malgré la "violence" de certaines scènes, ça n'est pas glauque pour être glauque. J'ai oublié si tu as lu la suite?...
Helstrid, mais j'arrive à me souvenir jusqu'à un certain moment mais dingue, pas moyen de savoir si l'autre il s'en sort... jz vais relire les dernières pages, ça me frustre :p
Pour Boxap, sans regret. Mais Terre errante? Why?
Amatka, curieuse d'avoir ton retour.
Non, je n'ai pas lu la suite. Pas encore en tout cas. ^^
Ahah, c'est encore plus l'avantage des novellas, tu peux relire toute la fin en peu de temps. =P
"Terre errante" ne me parle pas, des différents avis que j'ai lu ça ne m'attire pas. Vu que personne ne le classe en "chef-d'oeuvre", je me fais confiance pour le moment et je passe. ^^
Failli acheter la suite today... et puis ai choisi un roman plus volumineux pour moins cher ^^
Oui,fait juste que j'y repense quand j'ai la liseuse en main... ou alors tant pis, je lâche l'affaire et me consacre à nouvelle lecture (le temps est compté hein).
Je n'insterai pas, tu es maître de tes envies et tu as plus que raison de t'écouter :)
Par rapport au film, Terre errante c'est mieux ? Pareil ? Très différent ?
Je n'ai pas aimé le film, je le trouvais archi classique comme film d'action alors que la proposition de départ était très originale. Bref, j'ai pas eu mon compte je me demande si je l'aurais avec le lire.
J'ai Molly, Hesltrid et Amatka dans le viseur.
GG pour la participation sur le fil au Défi Cortex ^^
Je ne peux pas te dire parce que, à titre personnel, j'ai apprécié les 2. Cependant, j'ai cru lire de ci de là, que les 2 n'avaient rien à voir et que la novella était plus appréciée...
Et c'est vrai qu'il y a un certain nombre de différences.
Mais si le film reste classique, visuellement y a de chouettes passages et j'ai trouvé qu'il se laissait regarder sans ennui.
La novella, elle montre autre chose, c'est plus profond et amène plus de réflexions. Je la conseille.
3 titres SF que j'ai réussis à lire avant toi? Waaaaah :)
Je lirai avec plaisir tes avis.
Molly se lit super vite tellement c'est bon.
Helstrid...
Amatka, alors là, je veux trop savoir ce que tu auras compris de la fin, mon cerveau est parti en bloubiboulga sur une partie de la fin ^^
Merci! Contente d'avoir pu ajouter ces points in extremis (enfin si Lune les valide évidemment)
Rien lu de tout ça :)
Mais c'est quel roman qui valide la catégorie Bretagne?
Pas grave :p tu lis pleins de romans que je ne lis pas :p
C'est le Helstrid de Léourier. Baroona l'a validé dans cette catégorie alors comme il était vite lu, j'ai dit Go pour valider le point. ;)
"C'est le Helstrid de Léourier" --> Mais c'est quoi le rapport? Christian Léourier est breton? Il habite en Bretagne?
Hum, coppe je disais j'ai pompé sur Baroona pour cette catégorie. Pt'etre que l'auteur vit en Bretagne maintenant?...
Il ne m'a pas semblé que ça avait été validé en joker alors je présume qu'il y a une explication (que je n'ai pas cherchée), vu que ça a été validé chez lui.
J'avoue que j'ai été au plus rapide et pressée pour valider ce point.
(Désolée de ne pas t'apporter une réponse plus convenable). ;)
Lune l'a mis dans la liste des auteurs bretons, donc oui, il doit être breton. Mais je n'ai pas plus de détail que ça. ^^
Ok merci Baroona! Je tendrai l'oreille à l'avenir pour en savoirplus :D Merci Ite aussi, je fais ma reloue tu sais :D
@Baroona : ah merci pour la confirmation (en même temps je suis bête, je les avais lues les reci de Lune ^^).
@Alys : aucun souci tu avais raison de demander :)
Juste à temps ;) Je note Amatka, déjà lu Molly et Helstrid ^^
Ouiiii, pfiou bien failli ne oas trouver la motivation mais, c'eut été dommage de les avoir lus pour le challenge et ne pas les avoir validés ^^
J'espère qu'Amatka te plaira. Il y a des éléments qui devraient.
Bravo pour ce billet ! Je suis contente de tes découvertes diverses et variées !
Merci Lune.
Ce challenge aura été un vrai moteur pour découvrir plus de SFFF, plus d'auteur.ices du geenre et réveiller un peu le blog. Que du bonus!
Les commentaires sont fermés.