21/06/2014
Bienvenue au club - Jonathan Coe
Parce que c'était eux, parce que c'était nous
2003, Berlin, Sophie et Patrick se rencontrent pour la première fois. Coïncidence : leur père et leur mère se connaissent. C'était il y a longtemps...
A Birmingham, une bande de copains issus de différents milieux et fréquentant la même école select partagent projets, désirs adolescents et délires potaches tout en portant un regard souvent insolent et mordant sur leurs congénères, les adultes, et cette société anglaise des Seventies en pleine crise et mutation politico-idéologique.
16:55 Publié dans Bang | Tags : bienvenue au club, jonathan coe, seventies, syndicalisme, revendications, nationalisme, ira, intégration, musique pop-rock-punk, journal d'école, amours adoadultes, blagues potaches, élite de demain? | Lien permanent | Commentaires (6)
27/05/2014
A Mélie, sans mélo - Barbara Constantine
Happy days
Mélie s'apprête à recevoir sa petite-fille Clara pour les vacances d'été alors, elle met les mauvaises nouvelles que lui annonce Gérard, le médecin du village, de côté. Qui sait ce que sera demain et si demain sera? Alors, surtout, faire comme si de rien n'était, juste profiter! Priorité au bon temps, à la famille, aux amis de toujours et à ceux qui viennent se greffer à la tribu, le temps d'une journée ou plus. Il s'agit de concocter un été inoubliable et rempli de souvenirs heureux ; un été fait de découvertes où Mélie prend le temps de savourer la vie, entourée de ceux qui lui sont chers et la rend aussi plus belle à tous.
22:23 Publié dans Bang | Tags : à mélie sans mélo, barbara constantine, livre doudou, amour, tendresse, bonne humeur, complicité, humanité, carpe diem | Lien permanent | Commentaires (16)
25/05/2014
Le peintre d'éventail - Hubert Haddad
L'auberge de l'ange gardien
Dans la contrée d'Atôra, il est une pension tenue par Dame Hison. Dans cette pension, diverses solitudes se croisent, se mêlent mais vibrent aussi sur des cordes différentes. Ici, se joue aussi la transmission d'un art, celui de la peinture d'éventails car, non loin de la pension, un sublime jardin abrite maître Osaki qui œuvre discrètement à l'harmonie du lieu et, à en rendre toute la beauté par ses pinceaux et ses haïkus. Matabei venu trouver comme d'autres refuge dans cette pension, va nouer une relation privilégiée avec ce jardinier si spécial, avant de lui-même passer du statut d'élève à maître et veiller contre vents et marées à la survie de l'âme du lieu et de ses pensionnaires.
16:46 Publié dans Bang, zZz | Tags : le peintre d'éventail, hubert haddad, pension nippone, éventails et haïkus, naturalisme, catastrophe naturelle, antagonisme de rythmes, prose, contemplatif | Lien permanent | Commentaires (5)